• L'EUROPE DES DRAMES

    L'EUROPE DES DRAMESQuelle forfaiture cette l'Europe...!, Sensée apporter la liberté, la croissance et la paix, elle nous conduit, inéluctablement, vers une impasse démocratique sans précèdent. La soviétisation de cette E.R.S.S., Europe des Républiques Soviétiques Socialistes est devenue un continent où règnent la misère, la violence et les haines ordinaires.
    L'internationalisme a toujours été à l'origine des guerres, en particulier au XXème siècle. Et à ceux qui doutent, qu'ils se posent la question de savoir, "Qui a financé Hitler...?".           

                                                     

    L'EUROPE DES DRAMES

                     
                                                                                        

    Un logo est toujours l'expression d'une promesse, d'un avenir.

    Or, que voyons-nous.? Des grilles, des barbelés et une invitation de l'union Européenne à entrer. Mais une fois à l'intérieur, les Peuples seront bien emprisonnés...

         L'EUROPE DES DRAMES              
         

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     L'EUROPE DES DRAMES    

  • Ce que j'aime....

    J'aime le chinois quand il est chinois, avec son chapeau si reconnaissable, son sourire un peu forcé et son sens du sacrifice.

    J'aime le japonnais quand il est fier de son pays, qu'il me parle des kamikazes et qu'il se courbe en buvant du saké.

    J'aime le camerounais quand il me parle de ses pêches en mer sur des embarcations de fortune pour y ramener des poissons multicolores ou quand il tape sur un tambour de fortune pour rythmer le sens de sa vie.

    J'aime le russe, fier de Nicolas II, fier de Tolstoï et de Tchaïkovski, fier du Normandie-Niemen quand il chante d'une voix grave les chants russes.

    J'aime l'italien quand il me  parle avec les mains, quand il frime, cheveux gominés, auprès des filles en leur montrant le Palazzo Vecchio de Firenze.

    Mais j'ai horreur du chinois, du japonais, du camerounais, du russe, de l'italien, gavés d'hamburgers, le téléphone portable à la main, habillé d'un tee-shirt NYC et qui me vante l'uniformisation mondialisée où tout le monde s'embrasse et se hait à la fois.

    Je suis définitivement un vieux réactionnaire qui aime la différence pour y trouver ce qui me manquerait. Ce qui m'enrichirait.

    Je hais l'uniformisation de ce monde, où se perdent les saveurs, où se perdent les couleurs, où se perdent les odeurs, .......où se perdent les Hommes.

     

    Jacques METAIRIE

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  • La Jeunesse déprime   

    Se rendra-t-elle compte qu'elle est responsable de son destin.?
    Voilà une jeunesse, qui dans son ensemble et je ne peux lui en faire le grief, ne connait pas l'Histoire de France
    . Il est vrai que l'échec de l'Education Nationale est patent en la matière puisque l'Histoire n'est plus enseignée dans sa globalité mais de façon parcellaire et politisée.

    A force de vouloir l'internationalisme des bons sentiments, sans connaissance du passé, la jeunesse se fourvoie dans les méandres d'une idéologie ultra-libérale qui l'exploite et continuera de l'exploiter jusqu'à l'esclavage. Elle creuse sa propre tombe.
    Les jeunes français qui pensent que l'Union Européenne est un avenir n'ont pas compris qu'ils ne sont que les éléments d'une dictature qui ne dit pas encore son nom. Mais chaque jour, celle-ci tombe le masque et la Commission de Bruxelles en est un relai actif.

    La jeunesse française ne réalise pas que son destin sera identique à celui de la jeunesse des pays sous-développés qui paie le prix fort de l'exploitation des êtres humains.

    Les vents de la révolte soufflent, mais dans quelle direction.?

    Jacques METAIRIE

     

     

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  • La FIAC, cette foire aux vanités...

    L'art contemporain souffre d'un manque de visiteurs dans les galeries...voir l'article du journal lemonde.fr de ce jour, le tout est de savoir pourquoi. Le constat est récurrent depuis trente ans et les raisons en sont simples.

    La première est, ce que j'appelle, le "syndrome Van Gogh". De quoi s'agit-il.? Vincent Van Gogh, (1853 - 1890), peintre hollandais de naissance et français d'adoption, révolutionna la peinture du XIX ème siècle en utilisant la couleur pure dans une gestuelle qui lui appartenait. Il était, en cela, en parfaite contradiction avec les méthodes, les techniques et les canons des peintres officiels en vogue sous Napoléon III. En conséquence, tout le tenait éloigné des galeries officielles, y compris celle dont son frère Théo était le gérant; la Galerie Goupil.

    Van Gogh, prisonnier d'une personnalité exubérante, en mettant dans ses œuvres trop d'humanité et de spontanéité pour être accepté par ses contemporains et sa défiance à l'art officiel, se mit en marge de la commercialisation et du public. Vincent Van Gogh traversa donc cette époque dans la plus parfaite indifférence des milieux artistiques. Quand, dans les années 1910 - 1920, son génie fut reconnu, ses tableaux se vendirent alors à des prix qui ne cessèrent d'atteindre des sommets et les galeries, culpabilisées d'être passées à côté d'un génie, se mirent à acheter tout et n'importe quoi, et surtout à n'importe quel prix. Au cas où un matelas trempé dans la peinture rose serait l'aboutissement d'une pensée géniale.!!!

    Le pic de cette bulle financière de la déraison fut atteint dans les années 90.

    La deuxième raison trouve sa source dans les réserves des galeries d'art contemporain qui sont pleines d'un bric à brac de morceaux de bois, de cartons et fil de fer rouillé qui, fixés ensemble, s'appelle un œuvre d'art. Seulement, le public considère, avec raison, que cet art, fabriqué sans technique particulière et d'une réalisation facile, est déshumanisé. Et pour les galeries, vendre une de ces œuvres à perte, ou réorienter le style des artistes, serait reconnaitre qu'elles se sont trompées. Alors elles préfèrent faire faillite avec ce stock invendable.

    Dostoïesvki disait que c'est la beauté qui sauvera le Monde. Voilà un argument fondé que ressent le collectionneur.

    Ma définition de l'art est la suivante: une œuvre d'art se doit d'être inimitable. Quand je regarde l'art contemporain, je constate que n'importe qui, sans aucune formation ou pratique, peut se déclarer artiste. Le mal est là.

    L'art est malade et les "artistes" qui n'ont surtout plus rien à dire, préfèrent se compromettre, avec les galeries et les marchands, dans le commerce facile.

    Quitte à perdre leur âme.

    Jacques Métairie

     

     

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  • L'identité française et la sémantique.

    Dans le flot de stupidités que l'on entend de la part des journalistes politiques et des responsables de partis, il est nécessaire de se rappeler  que:

    L'intégration est le devoir de celui qui entre en France à se fondre dans la République en en respectant les Lois et non d'imposer les siennes. C'est également l'obligation d'admettre qu'il entre dans un pays qui n'est pas culturellement le sien et, qu'en conséquences, il doit en tenir compte dans ses comportements. C'est aussi se souvenir que la Liberté collective du Peuple français sera toujours supérieure à sa liberté individuelle.

    L'assimilation est, par contre, l'obligation de la France d'accorder la totalité des droits aux étrangers qui auront su s'intégrer en favorisant l'accès à la citoyenneté française par la nationalité.

    Le reste n'est que verbiages nauséabonds à visées propagandistes.

    Jacques Metairie

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  • La France, pays de la discrimination.

    L'UMP s'attaque au droit du sol et le PS s'insurge en évoquant la fin du '"Pacte républicain"...!

    Il est clair que ce dossier doit être ouvert sans faux-semblants et sans arrières pensées mais la République, dont parle goulûment la gauche, est bafouée quotidiennement par ceux-là mêmes qui donnent des leçons.

    Un des fondements de la République française est l'obligation de devoirs qui donnent des droits. Or, ce principe est violé, en permanence, par l'attribution de l'AME et de la CMU à des personnes qui n'ont JAMAIS cotisé sur le sol alors que ceux qui ont contribué à la richesse de notre pays par leur travail et leurs cotisations, voient leurs droits se réduire comme peau de chagrin.
    Quand sur un même sol, un même territoire ou dans un même pays, les citoyens sont traités de façon inégalitaire, cela porte un nom: la discrimination.

    La suite est historiquement connue, ce sera l'apartheid.

    Jacques Metairie

     

     

     

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