Un extrémiste de gauche est mort.

Assassiné par un autre extrémiste, de droite celui-là.
Deux extrêmes qui n'ont pas leur place dans la République française. Mais il est vrai que, pour les médias et le gouvernement actuel, l'extrémisme de gauche a toujours eu ce parfum de romantisme qui plait tant aux internationalistes rêveurs de la boboïtude.

Le goulag, les camps soviétiques et les cent millions de morts, victimes innocentes, ne comptent pas dans leur vision de l'Histoire. Ils vous diront qu'il fallait rééduquer tous ces réactionnaires qui n'étaient pas d'accord avec leur vision de la société. Ils vous justifieront les camps, les goulags et les tortures qui devaient les aider à rentrer dans le droit chemin: celui du communisme et du marxisme-léninisme, univers de la tête baissée, de la torture quotidienne et de l'esclavagisme stalinien.

Je vois qu'ils sont toujours là, donneurs de leçons, fascistes rouge-sang, haineux de la République, de la France et de son  Peuple.

Mais n'attendez-pas qu'ils soient exclus du champ républicain par un gouvernement socialiste, héritier en ligne directe du pétainisme dont la collaboration nazie fut le seul acte de résistance.

Nous continuerons donc à être gavés de l'information de Radio-Paris et de Je suis partout. Un fameux journal.

Jacques Métairie.