• Schengen, le traité du grand banditisme voulu par l'Europe.

    Schengen, le traité du grand banditisme voulu par l'Europe.

    Après la suppression idéologique des frontières de l'Europe, nous avons vu l'augmentation de la puissance des mafias spécialisées dans tous les trafics; drogue, esclavage humain, prostitution organisée, immigration, armes et flux financiers. Ce traité scélérat a eu pour vocation première de déstabiliser tous les pays d'Europe et il a été appliqué, à dessein, dans un seul but: détruire tout ce qui fait l'honneur des nations, à savoir, leurs identités propres, leurs langues et leurs coutumes.

    A qui profite le crime.? La question est posée et la réponse est pourtant simple: à tous les internationalistes, ceux de l'idéologie socialiste ou communiste, à la finance qui a trouvé là le moyen de la libre circulation des capitaux, sans contrôles, au patronat multinational qui se gave d'esclaves bon marché pour gagner en compétitivité et, surtout, à toute la mouvance idéologique dite "de droite" UMP, UDI et autres affidés, ceux là-mêmes que De Gaulle qualifiait déjà en son temps de "partis de l'étranger".

    Le coup de grâce vient d'être asséner aux buralistes qui vont devoir fermer boutique car Bruxelles a exigé la libre vente, sans  limite, des cigarettes dans l'espace Schengen. L'Europe a, une fois de plus, favorisé le grand banditisme. Mais que devrions-nous attendre d'une Commission de Bruxelles dont les membres comme Monsieur Baroso ou Madame Ashton ont été, par le passé, des communistes actifs et activistes.

    Il est donc urgent pour les Peuples européens, et en particulier pour la France, de quitter ce monstre bureaucratique qu'est l'ERSS, Europe des Républiques Socialistes Soviétiques, afin de retrouver un espace de démocratie, de liberté et de sécurité.

    Jacques Métairie.

    « Augmentation du nombre de milliardaires en ChineHollande voyage.... »
    Partager via GmailGoogle Bookmarks

    Tags Tags : , , , , , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires

    Vous devez être connecté pour commenter